En l'an mille, le samouraï Minamoto Tsunefusa forçait l'admiration et le respect de l'empereur lors des combats, mais il inspirait aussi peur et mépris auprès de la cour de l'impératrice Sadako, férue de lettres et de poésie. Il rœvait de devenir poète, et convoitait la dame Seichôang, poétesse préférée de l'impératrice, en vain. De colère, il quitta le royaume pour chercher l'inspiration.